Stage chez Spacejunk, centre d’arts à Lyon
Découvrez le témoignage de Coralie, étudiante en 4e année dans notre école de médiation culturelle ICART, qui réalise son stage au sein de Spacejunk Lyon, un centre dédié au Street art.
© Remi Duhamel
Pouvez-vous vous présenter et nous parler de votre parcours ?
Depuis petite, je passais du temps à dessiner ou le nez plongé dans des livres… cet intérêt pour les arts m’a suivi si bien qu’après le collège, c’est naturellement que j’ai poursuivi dans un baccalauréat littéraire. Sans trop y réfléchir non plus, je me suis ensuite inscrite en licence de Lettres, mais puisque l’histoire de l’art occupait une bonne partie de mon temps libre, j’ai décidé de l’intégrer à mon parcours en me réorientant vers une bi-licence de Lettres et Histoire de l’Art.
En choisissant l’école de médiation culturelle ICART pour terminer ma formation, j’étais attirée par les expériences concrètes qui pourraient s’offrir à moi.
Pourquoi avoir choisi ce stage chez Spacejunk ?
Au vu de la difficulté que beaucoup connaissent dans leur recherche de stage, je ne sais pas si l’on peut vraiment parler de “choix” - en tout cas, il est rare d’avoir plusieurs réponses positives sous la main en pouvant choisir laquelle on préfère… La décision d’intégrer Spacejunk s’est faite très rapidement : le temps pressait, et en prenant connaissance des missions qu’engloberait ce stage, je ne voulais vraiment pas passer à côté de cette opportunité !
Le gros intitulé de ce stage concerne la médiation culturelle - qui à ce moment m’attirait tout particulièrement, à la suite de premières expériences de médiation qui furent enrichissantes - et je savais que nous aurions également affaire à une diversité de tâches qui serait formatrice. J’étais également attirée par le fait de voir toutes les étapes d’une exposition, depuis ses prémices jusqu’à sa fermeture.
Pouvez-vous nous donner un aperçu de votre quotidien et des défis que vous devez relever ?
Depuis l’ouverture de l’exposition au public, les journées sont rythmées par l’alternance entre différents postes. À chaque poste ses défis, qui varient encore en fonction de l'affluence, donc des jours…
Le cœur du stage est la médiation culturelle : il faut maintenir l’attention des visiteurs en leur offrant un discours accessible mais instructif, et alors que certains se disposent à l’échange, d’autres préfèrent simplement recevoir… il faut donc faire preuve d’adaptation, afin de satisfaire tout le monde malgré des groupes parfois hétérogènes. Je trouve que la médiation nous en apprend beaucoup sur nous-mêmes !
Quelle a été, d’après vous, votre principale force pour décrocher ce stage ?
Une de mes forces pour décrocher ce stage était peut-être ma détermination… Je pense que de m’être montrée prête à m’essayer à de multiples tâches a également plu.
En quoi votre formation à l’école de management culturel ICART vous aide dans vos missions ?
Si je sens que ma formation en management culturel à l’ICART est bénéfique, c’est surtout pour ce qu’elle m’a apporté concernant les réalités du terrain. En effet, les cours étant donnés par des intervenants travaillant dans le secteur culturel, ils savent de quoi ils parlent et peuvent le faire avec honnêteté…
Surtout, grâce à des collaborations avec d’importants organismes culturels, l’école de médiation culturelle ICART nous offre des opportunités significatives : j’ai pu être médiatrice au festival de Street art Peinture Fraîche, et surtout, à la Biennale d’Art Contemporain, ce qui est une grande chance.
Des conseils que vous voudriez donner à un étudiant qui voudrait intégrer notre école et faire un stage dans la culture ?
De rester authentiques, fidèles à eux-mêmes. En effet, dans le secteur culturel, nous avons principalement affaire à des passionnés, et je pense que la personnalité de chacun compte tout autant que le parcours d’études.
Je pense également qu’il ne faut jamais reculer devant de nouvelles expériences car toutes sont bonnes à prendre et elles sont toutes susceptibles de nous en apprendre sur nous-mêmes, en nous faisant prendre confiance.
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