Devenir médiateur culturel : formation et
compétences nécessaires

Le métier de médiateur culturel est un métier polyvalent qui attire de plus en plus de jeunes étudiants de par la pluralité de ses missions. Mais pour devenir médiateur culturel, il faut disposer d’une formation dédiée et de compétences précises. 

Devenir médiateur culturel : présentation du métier

Qu’il travaille au sein d’une collectivité locale, d’une bibliothèque, d’un musée, d’une salle de spectacle…, le médiateur culturel assure l’accès à la culture au plus grand nombre en favorisant toutes les formes d’expression artistique.  Ainsi, il monte des expositions, organise des festivals ou gère une salle de spectacle et sa programmation.
Devenir médiateur culturel signifie faire l’intermédiaire entre des œuvres, des artistes et le grand public mais aussi cumuler les activités comme l’administration, la gestion, le management ou encore la communication. 

Quelle formation choisir ?

Avec l’explosion du secteur culturel depuis une dizaine d’années, le nombre de formations dédiées à la médiation culturelle a explosé. De plus, la concurrence est rude sur le marché du travail, mieux vaut miser sur une solide formation en obtenant un Bac+5 ou équivalent en médiation culturelle ou management culturel. L’ICART, école spécialisée dans l’ingénierie culturelle, propose un MBA spécialisé Ingénierie Culturelle et Management qui vous formera aussi bien à la communication culturelle, qu’à la médiation culturelle en passant par le management ou encore l’événementiel. 

Compétences requises pour devenir médiateur culturel

Le médiateur culturel est un véritable homme d’orchestre capable de s’adapter à toutes les situations. Le médiateur culturel est un communicant capable de s’adresser à de multiples publics mais aussi de faire la promotion des événements culturels qu’il organise. C’est un pédagogue dans l’âme apte à mettre l’art à la portée de tous. Mais surtout, pour devenir médiateur culturel il faut avoir une culture générale en arts, se tenir informé des tendances et avoir un bon carnet d’adresses.